Au Niger, pays saharien, rien n'est plus précieux que l'eau.
Depuis 40 ans, AREVA tire 40% de sa production d'uranium du Nord-Niger.
AREVA assèche les deux seules nappes phréatiques vitales de la région.
La nappe fossile d'Agadez va disparaître, tout comme celle d'Arlit. Ces deux nappes sont les seules de la région. Sans elles, pas de vie humaine.
Le peu d'eau qui reste est contaminé soit par les nitrates (explosifs des mines) soit par l'uranium.
AREVA n'est pas une multinationale mais une société d'état, financée par nos contributions fiscales.
Source : "Sortir du Nucléaire 38"